Le MAC défenseur des avocats collaborateurs : une Consoeur témoigne.

Il paraît que le MAC est cupide.  

Pourtant, nous conseillons quotidiennement de nombreux collaborateurs (information sur les droits du collaborateur, intervention auprès du cabinet, …), à titre purement gracieux, sans même exiger leur adhésion au syndicat (qui est au demeurant confidentielle). 

Il est vrai que, si notre Confrère demande à un membre du syndicat d’être son avocat personnel, autrement dit de rédiger les actes, de l’assister et de plaider l’affaire aux audiences, il devra alors conclure avec le membre du MAC choisi une convention d’honoraires, comme il le ferait avec n’importe quel avocat.

Là dessus, voilà que la vertueuse Union des Jeunes Avocats crie au scandale, hurle à l’abus de faiblesse et clame partout qu’elle ne demande rien aux collaborateurs en détresse. 

L’UJA ‘bénévole’ et ‘désintéressée’ ? Pas vraiment, comme nous l’avons vu dans « L’UJA, une amie qui vous veut des biens (saison 1) ». 

En attendant la saison 2 de cette saga ordinalo-financière, nous vous livrons le témoignage d’une Consoeur, qui a ensuite rejoint notre organisation de malfaiteurs [nous le publions sous couvert d’anonymat, à sa demande, pour des raisons évidentes de confidentialité].  

« Je souhaite, par le présent témoignage, faire part de mon expérience avec le MAC dans le cadre d’un litige avec mon ancien cabinet d’avocats.

En effet, il a été mis fin à mon contrat de collaboration le 1er octobre 2012, pendant ma période d’essai. 

Alors même qu’il m’avait été indiqué que je resterai en poste jusqu’à la fin du mois de novembre, pour avoir le temps de retrouver une collaboration dans des conditions correctes, j’ai reçu, le 12 octobre, une lettre de rupture de mon contrat stipulant un préavis de huit jours.

Connaissant les convictions et les prises de positions d’Avi Bitton, je me suis tout naturellement tournée vers le MAC, afin d’obtenir des conseils dans la manière de gérer le litige qui venait de naître avec mon cabinet.

J’ai téléphoné à Avi Bitton un vendredi et obtenu un rendez-vous le lundi suivant.

Dès notre entretien téléphonique, Avi Bitton m’a indiqué que, s’il intervenait dans mon litige, ce serait à titre syndical et purement gratuit, ce qui m’a étonnée car je m’attendais à devoir régler des honoraires.

C’est dans ces conditions que le MAC, par l’intermédiaire d’Avi Bitton, a joué un rôle de médiateur avec mon cabinet d’avocats, à titre purement gracieux.

Si j’écris ces quelques lignes de témoignage aujourd’hui, c’est parce que je suis réellement reconnaissante au MAC d’avoir été présent à mes côtés durant une période pour le moins difficile de ma carrière.

J’ajoute qu’à chaque fois que j’en ai eu besoin, j’ai trouvé un interlocuteur disponible pour me conseiller, et qu’en plus d’une aide juridique gratuite, j’ai trouvé au sein du MAC un véritable soutien moral.

Je tiens donc à remercier le MAC pour son aide. ».

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