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Ô MAC, ô désespoir ! La vidéo miraculeuse à voir avant de voter !

Confrères, accomplissez un miracle en visionnant cette vidéo avant de voter au 2ème tour des élections au Conseil de l’Ordre !

Si vous voulez que nous poursuivions nos combats, élisez nos candidats au Conseil de l’Ordre, pour Laetitia Lencione et Thibaut de Saint-Sernin. 

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Avocats Collaborateurs défendez vos droits au Conseil de l’Ordre

Explications en vidéo par les deux candidats du MAC au Conseil de l’Ordre : Laetitia Lencione et Thibaut de Saint-Sernin.

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6ème semaine de congés payés pour les collaborateurs : une proposition démagogique ?

Les cabinets d’avocats n’arrivent plus à recruter des avocats collaborateurs. Ce phénomène touche tous les cabinets, de toutes tailles et dans presque tous les domaines d’activités. 

Les statistiques le montrent : les jeunes avocats quittent massivement la profession, soit à la sortie de l’Ecole du Barreau, soit dans les premières années, et ils vont souvent en entreprise. 

Pourquoi ?

Parce que le statut d’avocat collaborateur, qui peut être rompu sans motif, sans assurance chômage, et avec un droit à la clientèle personnelle souvent illusoire, est bien moins attractif que le statut de juriste salarié, avec les garanties du Code du travail (durée du travail, licenciement soumis à motif, …) et l’assurance chômage. 

Que faire ? 

Pour rendre la collaboration libérale plus attractive, il faut instaurer une assurance chômage (voir notre autre article/vidéo ici) et, dans les grands cabinets d’affaires, octroyer une sixième semaine de congés payés.

Pourquoi dans les grands cabinets ? Parce que leurs collaborateurs ont quasi-systématiquement des horaires très extensifs et n’ont souvent aucune clientèle personnelle.  

Les temps ont changé et les jeunes avocats n’acceptent plus ce statut bancal de collaborateur libéral. Si notre profession ne s’adapte pas, les cabinets en payeront les conséquences.  

Votez et faites voter pour nos candidats au Conseil de l’Ordre, Laetitia Lencione et Thibaut de Saint-Sernin, afin qu’ils portent ce projet. 

Explications en vidéo :

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Discrimination au congé maternité : pour une renégociation de l’assurance chance maternité

C’est un fait établi : les avocates collaboratrices sont massivement discriminées au retour de leur congé maternité. 

Cette discrimination prend souvent la forme d’une rupture de la collaboration après la période de protection légale. 

Notre syndicat lutte depuis sa création (2011) contre ces abus, en conseillant les collaboratrices, en les assistant devant l’Ordre, en déposant des plaintes pénales, et en médiatisant ces discriminations. Ainsi, le Secrétaire général du MAC a récemment représenté deux collaboratrices du cabinet d’avocats Ernst & Young (lire ici un des articles de Libération).  

Que faire pour limiter ces discriminations ? 

Actuellement, lorsqu’une collaboratrice est en congé maternité, elle n’est indemnisée que partiellement par l’assurance Chance maternité contractée par l’Ordre, et le cabinet supporte la charge financière d’une partie substantielle des indemnités et rétrocessions. 

Bien entendu, cette situation ne justifie aucunement la discrimination et la rupture de la collaboration.

Pour autant, si les collaboratrices étaient mieux indemnisées par l’assurance de l’Ordre, et si la charge financière pour le cabinet était ainsi allégée, il est alors probable qu’il y aurait moins de ruptures de collaboration au retour des congés de maternité. 

C’est pourquoi le MAC propose que l’Ordre renégocie le contrat Chance maternité avec la compagnie d’assurance, afin que la collaboratrice reçoive immédiatement des indemnités de l’assurance et que ces indemnités soient plus élevées. 

Nos candidats au Conseil de l’Ordre, Laetitia Lencione et Thibaut de Saint-Sernin, porteront ce projet si vous les élisez. Votez et faites voter pour eux les mardi 29 novembre et jeudi 1er décembre.

Retrouvez leurs explications en vidéo :

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Conseils aux jeunes avocats : Pascal Ceaux, Directeur adjoint du JDD

Pascal Ceaux est journaliste police-justice depuis 35 ans (Le Monde, L’Express) et il est Directeur adjoint du Journal du Dimanche.

Comment médiatiser une affaire dans l’intérêt de son client ?

Quelles sont les précautions que l’avocat doit prendre ?

En exclusivité pour le MAC, Pascal Ceaux offre aux jeunes avocats ses conseils expérimentés.  

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Conseils aux jeunes avocats : Léon Lef Forster, Avocat pénaliste

Il est avocat pénaliste depuis 50 ans, ancien Membre du Conseil de l’Ordre et ancien Secrétaire de la Conférence. 

Il a été l’avocat du groupe Action Directe, de Dominique Strauss-Kahn, de la République du Rwanda, de Julien Dray et de Charles Pasqua. Il défend régulièrement des magistrats et des avocats. 

En exclusivité pour le MAC, Léon Lef Forster prodigue ses conseils aux jeunes avocats. 

 

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Pour une assurance chômage des avocats collaborateurs

Notre syndicat milite depuis toujours pour la mise en place d’une assurance chômage pour les collaborateurs. En 2010, le Secrétaire général du MAC (Avi Bitton, pour vous servir) avait proposé au Conseil de l’Ordre la création d’une assurance perte de collaboration, contractée par l’Ordre, pour tous les collaborateurs, sans augmentation des cotisations ordinales.  

Aujourd’hui, à l’heure où de nombreux jeunes avocats abandonnent la profession au profit du salariat et où les cabinets peinent à recruter, il est temps de rendre la collaboration plus sécurisée et donc plus attractive.

Explications en vidéo par les deux candidats du MAC au Conseil de l’Ordre : Laetitia Lencione et Thibaut de Saint-Sernin.

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Conseils aux jeunes avocats : Fabrice Vert, juge des référés au Tribunal judiciaire de Paris

Comment préparer une audience devant le juge des référés du tribunal judiciaire ?

Comment saisir le juge et plaider en référé ?

Quelles sont les bonnes pratiques et les erreurs à ne pas commettre ?

En exclusivité pour vous, jeunes (et moins jeunes) avocats, Monsieur Fabrice Vert, Juge des référés au tribunal judiciaire de Paris, répond à ces questions, en quelques minutes !

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Conseils aux jeunes avocats : Valérie Dervieux, présidente de Chambre de l’Instruction à Paris

Comment préparer une audience devant la Chambre de l’instruction ?

Comment plaider devant cette chambre ?

Quelles sont les bonnes pratiques et les erreurs à ne pas commettre ?

En exclusivité pour vous, jeunes (et moins jeunes) avocats, Madame Valérie Dervieux, présidente de chambre de l’instruction à paris, répond à ces questions, en quelques minutes !

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Avocat salarié en entreprise : projet abandonné !

Le MAC n’a pas toujours été dans le courant majoritaire, ‘mainstream‘. 

Mais notre syndicat s’est toujours opposé au projet d’avocat salarié en entreprise, avec toute la profession. Enfin … toute la profession sauf les Bâtonnier de Paris et le Conseil de l’Ordre de Paris, qui ont toujours soutenu ce projet. 

Ainsi, le Conseil de l’Ordre de Paris a voté, le 19 janvier 2021, en faveur de ce projet, alors que le CNB a ensuite rejeté ce même projet à une très large majorité. 

Aujourd’hui, le projet d’avocat salarié en entreprise est officiellement abandonné par le Gouvernement (Le Monde, 5 mars 2021).

Le MAC s’en félicite, de même que ses élus Guillaume Delarue et Laetitia Lencione, Membres du Conseil National des Barreaux qui ont voté contre le projet.  

L’avocat en entreprise n’aurait pas créé des emplois pour les jeunes avocats : les juristes déjà en poste auraient demandé à devenir avocats via la passerelle, sur dossier et sans concours, et auraient ainsi continué à exercer en entreprise, avec le titre d’avocat salarié.

On imagine les experts-comptables proposant les services de leur avocat salarié à leurs clients entreprises, les assurances protection juridique faisant de même avec leurs assurés, les syndicats de salariés avec leurs salariés, …. 

En revanche, l’avocat en entreprise aurait détruit des emplois d’avocats collaborateurs, car les cabinets d’avocats auraient eu moins de clients et de dossiers, puisque les avocats salariés en entreprise les auraient traités.

Pourtant, l’Union des Jeunes Avocats (UJA) de Paris a voté pour cet avocat en entreprise, et leur élue Sophie Andrieu a même contribué au rapport – favorable – présenté au Conseil de l’Ordre. 

Pourquoi ? Peut-être parce que la subvention exorbitante de 70 000 Euros que l’Ordre verse à l’UJA chaque année ne leur permet pas de s’opposer vraiment au Bâtonnier, comme devrait le faire tout syndicat digne de ce nom ….  

Les avocats parisiens devront se souvenir aux prochaines élections ordinales que les élus de l’Union des Jeunes Avocats Paris (UJA) ont voté pour ce projet qui aurait détruit de nombreux emplois d’avocats collaborateurs et aurait entrainé la faillite de certains cabinets. 

Retrouvez-nous en vidéo, avec de l’image et du son :